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Entre l'empreinte traditionnelle de plâtre de mon propre visage, moulage réalisé en 2013, et un visage anonyme scanné et imprimé en 3D en 2017, la différence est visible. Avec l'impression en 3D, on constate un lissage des traits faciaux, voire une quasi dissolution de la notion même de masque, rendant ce dernier moins inquiétant, moins dérangeant, plus abstrait.
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